Écoute ce roulement furieux que rugissent les graves du piano…
Avant un tourbillon de notes qui lance le troisième mouvement de ce concerto.
Pour cette irrésistible partition, Saint-Saëns s’inspire des saltarelles, des danses populaires très vives venues du sud de l’Italie.
Le piano est totalement inarrêtable ! L’orchestre semble le suivre tant bien que mal et sert de cadre dramatique au jeu du soliste qui laisse éclater sa virtuosité.
Quel talent ce Saint-Saëns !